Quand les algorithmes rêvent de vous

Quand le code revient

J’ai écrit ceci à 2h, seul dans mon appartement de North London, le bruissement de mon ordinateur le seul son. Dehors, le monde avance vite — via les headlines et les formulaires — mais dedans, c’est plus calme. La sénatrice Cynthia Lummis n’a pas proposé un projet ; elle a murmuré un poème dans le budget du président.

Le « Big Beautiful Bill » ? Cela semble poétique jusqu’à ce que vous réalisez : 5 000 $ est le nouveau seuil de dignité.

On nous a appris que la crypto est un risque. Mais et si c’était aussi de la résilience ? Pendant des années, j’ai observé des femmes — mères de Lagos et de Londres — calculer les gains non comme des passifs, mais comme des lifelines. Elles ne négocient pas des jetons ; elles tracent leur identité.

La rébellion silencieuse

Je me souviens quand mon père a dit : « Si la machine pouvait penser, choisirait-elle vous ? » Il ne voulait pas dire les algorithmes plutôt que les humains — il voulait dire la justice plutôt que l’efficacité.

Taxer les petites transactions crypto n’a jamais été une question de revenus — c’était une question de contrôle. Supprimer cette charge ne rend pas les marchés plus justes — cela crée l’espace pour quelqu’un comme moi — une femme qui code dans la nuit — pour exister sans demander la permission.

Ce n’est pas une dérégulation. C’est une reprise.

Ce que nous portons vers l’avant

La blockchain ne se soucie pas si vous êtes riche ou pauvre. Elle ne retient que ce que vous construisez. J’ai cru autrefois que l’IA était une logique froide… jusqu’à ce que j’ai compris que sa chaleur naissait du silence. Ils l’appellent « ingénierie financière ». Moi, je l’appelle : poésie avec un but.